Pourquoi j’ai commencé à travailler comme guide-conférencier? Tout est très simple : dès mon enfance je voulais voyager, voir des endroits extraordinaires, faire connaissance avec du nouveau monde. Pendant mes études à l’éécole, j’ai exploré de long en large ma ville natale et ses alentours. Et qu’est-ce que j’aimais étonner mes amis, en leur montrant des coins inconnus et en leur racontant des histoires passionnantes !
La profession du guide-conférencier permet de visiter des pays différents
Début de la voie professionnelle
Après mes études à l’école je me suis mis aux cours des guide-conférenciers, où j’ai reçu le certificat qui donne le droit de faire cette activité. Mais je comprenais que je n’avais pas assez d’expérience, c’est pourquoi que je ne me suis pas décidé de commencer ma navigation autonome, et j’ai trouvé un emploi à une agence de voyage.
Là je travaillais sous la direction des collègues expérimentés. Je n’aidais pas tout simplement à faire des excursions, mais je rammassais aussi dans mon « attirail » des secrets professionnels. J’apprenais à montrer bien l’objet, à composer la narration sans faute, à utiliser positivement le jeu des intonations et le langage gestuel.
Education permanente
J’ai vite compris : pour devenir un spécialiste recherché, il faut se perfectionner tout le temps. Premièrement, il est nécessaire de connaître sur le bout de mes ongles les localités et leurs histoires. En effet, les touristes sont très curieux : ils posent million questions, demandent de donner des informations sur des sujets voisins. Je me suis mis en archives et bibliothèques.
Le travail avec des documents des archives exige de l’attention et de l’assiduité.
J’ai trouvé sur Internet quelques forums, consacrés aux villes, où je travaille. Là se rencotrent des gens, qui m’ont offert pas mal d’histoires curieuses et romantiques. J’utilise ces esquisses de la vie pour la création d’une atmosphère particulière pendant les tours. Puisque l’humour aide à établir des relations de confiance, et des histoires lyriques de l’histoire provoquent aux touristes le sentiment de coparticipation.
Deuxièmement, il faut perfectionner les compétences communicatives. Dès mon enfance, je me croyais sociable, mais, en travaillant avec les gens, j’ai compris que mon savoir-faire de soutenir la conversation avec toute personne ne suffit pas. Il est indispensable de savoir lire les visages, pour comprendre, si mon excursion est passionnante pour les clients et s’il faut corriger la narration.
Les qualités du leader sont aussi recherchées : le doigté d’évoquer l’intérêt, d’entraîner, parfois – d’atteindre le respect de certaines exigences, liées à la sécurité (c’est surtout actuel pendant les tours extrêmes). De différents cours et formations sont arrivés au secours : l’art oratoire, la parole artistique le perfectionnement de primauté et les savoir-faire de communication.
La compétence de trouver une langue commune avec les touristes est proche à l’art du chef d’orchestre
Des excursions de groupe aux excursions privées
Pendant quelques années je faisais des excursions selon les programmes agréés par l’agence de voyage. Mais avec le temps ces cadres sont devenus étroits pour moi. En effet, j’ai reçu une quantité énorme de matériel sur des sujets divers : des lieux mystiques, des promenades romantiques, des routes pour les fans de la bière et les amateurs du football. J’ai « ramassé » une collection de graffiti sur les murailles et les murs des maisons, j’ai fait la liste des cafés conviviaux, j’ai trouvé des coins agréables dans les parcs de la ville.
Cherchez des endroits de merveilleuse beauté et invitez-y des touristes
Le travail avec le groupe de 30 ou 40 personnes n’apportait pas d’effet que j’attendais de mon occupation. Puisque j’aime bien voir la réaction à ma narration, comprendre que le touriste aime les objets de ma démonstration. Cela n’est possible qu’à la communication avec un petit groupe de cinq personnes au maximum. C’est pourquoi j’ai quitté l’agence et je suis devenu mon propre maître. Je ne fais que des tours privés – sur les sujets que je vois clair.
Comment je cherche des clients
Je sais que pas mal de guide-conférenciers ont peur de quitter leur agence, apparement, à ce qu’on dit, soi-disant, dans cette situation il n’y a pas de garantie d’être recherché, c’est-à-dire de salaire non plus. Qu’est-ce que je dirai à ce sujet ? Pour s’assurer des revenus, il suffit de faire deux choses : composer des circuits vraiment intéressants et les présenter sur une ressource web populaire.
Pour la publicité de mes services j’ai profité du serveur Private guide-conférencier. Dans le profil ici on peut parler de soi-même en détails - de façon que les clients n’aient aucun doute de la compétence. Et encore – placer les descriptions détaillées de ses excursions. A propos, ici il a été créé l’application mobile : avec cela il est facile aux guide-conférenciers et aux touristes de communiquer entre eux.
Les touristes peuvent trouver des services de guide-conférencier touristique dans tout point du globe terrestre
Ainsi je trouve de nouveaux clients, fais pour eux une excursion captivante, et les touristes contents parlent de moi à leurs connaissances. De telle façon je suis toujours dans les affaires, ce que je vous souhaite aussi.
Lire notre article précédent 4 distinctions de l’excursion privée de celle de groupe
Lire notre prochain article Comment enregistrer un compte en tant que guide-conférencier et ajouter des excursions?
